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Stéphane SISCO

Stéphane SISCO

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Maxime CASTILLO


le 12 décembre 1994
A Suresnes (Hauts-de-Seine)
Discipline : Bodyboard
Catégorie : Open
Club : Union des Surf Clubs du Bassin d’Arcachon (Gironde)

Palmarès
Champion du monde junior 2012
N.9 mondial IBC 2023
N.25 world tour APB 2015
N.13 world tour APB 2016
N.16 world tour APB 2017
N. 12 world tour APB 2018
N.11 world tour APB 2019
Champion d'Europe Pro 2018
Classement national : N.3
Nombre de sélections en équipe de France : 4
 

Bio express

Maxime Castillo est né et a grandi en région parisienne. Arrivé à Arcachon à l’âge de 7 ans, il a immédiatement noué un lien fort avec l’océan. Son oncle, Nicolas Padois (aujourd’hui entraîneur des équipes de France de bodybaord), y fonde l’école Ocean Roots et, naturellement, le jeune Maxime passe ses journées entières à l’eau. A l’inverse de beaucoup d’autres, il est d’abord sur un surf, puis passe sur un bodyboard.
Max a 11 ans lorsqu’il participe à ses premiers championnats de France. Il repart de Bretagne avec une deuxième place. Deux ans plus tard, en 2008, il est champion de France. Deux années passent encore avant qu’il ne décroche sa première sélection tricolore. Maxime remporte le titre continental durant l’Eurosurf junior de Viana do Castello, au Portugal, en 2010.
Tout s’accélère puisqu’il se qualifie ensuite pour les Mondiaux et obtient une 5e place chez les juniors, en 2011 aux Canaries. La déception de la perte de son titre européen, en 2012 à Lacanau (3e), est vite oubliée puisqu’en fin de cette même année, il monte sur la plus haute marche du podium des championnats du monde juniors, au Venezuela.
Passé par le Pôle France de Bayonne, qui lui a permis de concilier sport et études, Max s’est donné les moyens de réussir. S’il navigue aujourd’hui sur le tour mondial, duquel il a terminé 13e la saison dernière, le jeune homme a pensé à ses arrières. Il a signé un contrat avenir dédié aux sportifs de haut niveau, il a passé son diplôme de moniteur pour enseigner sa passion au sein de l’école de son oncle.
N.25 mondial l’issue de sa première saison dans l'élite en 2015, Maxime  s’est ainsi qualifié pour l’APB world tour, l’équivalent du CT en surf mais pour le bodyboard. Il est ainsi un des trois Français avec Pierre-Louis Costes (N.1) et Amaury Lavernhe (N.2) à faire partie de cette élite mondiale. Un quart de finale au Brésil puis au Portugal en septembre, les meilleurs résultats de sa jeune carrière, a notamment permis à Max de se hisser dans le Top 15 en 2016.
Il confirme sa position en réalisant la meilleure saison de sa carrière en 2018, finissant au 12e rang mondial. Dans la foulée, il remporte début décembre le premier titre européen ETB de sa carrière après la dernière étape au Maroc. En juillet 2019, il signe la meilleure perf de sa carrière en se hissant jusqu'en demi-finales du Antofagasta Festival, 2e étape du World Grand Slam au Chili. Il termine la saison 2019 à la 11e place mondiale, son meilleur classement. Finaliste de la dernière étape de l'ETB, il termine à la deuxième place du circuit européen. 
Après deux années d'interruption et le changement d'appellation du tour mondial, Maxime Castillo prend la 3e place du Arica Cultura Bodyboard au Chili et entame parfaitement la saison 2022 de l'IBC World Tour. Il boucle l'année 2023 à la 9e place du ranking IBC, son meilleur classement à ce jour.

Justine Dupont remporte le Central Coast Pro

La Française s’est imposée en finale du Central Coast Pro, QS 1.000 disputé ce vendredi à Avoca Beach (NSW, Australie). Après les deux victoires de Maud Le Car en janvier (Californie et Israël), les surfeuses françaises sont en forme, elles ont remporté trois des six QS en ce début d'année.

 

Plus de trois ans après sa dernière victoire en QS, c’était en 2012 à Estoril, au Portugal, sur un 6 star, Justine Dupont a donc été au bout du QS australien d’Avocat Beach. En finale, la Canaulaise a disposé de l’Australienne Philippa Anderson (16,90-14,70) dans des vagues de 3-4 pieds.
Au-delà des 1.000 points, qui peuvent compter dans l’emballage final, Justine a surtout fait le plein de confiance avant les deux grands rendez-vous du début de saison en Australie ; à savoir, les QS 6.000 de Newcastle (22-28 février) et de Manly (29 février-6 mars). C’est en substance ce que la double championne de France 2015, seule Française engagée à Avoca beach, a confié après avoir récupéré son trophée : « Mon objectif en arrivant ici était de préparer au mieux les grosses compétitions à venir. J'ai l'impression de m'être améliorée au cours de la compétition et de savoir où je dois encore travailler. J’ai vraiment hâte de disputer cette saison 2016 et de me mêler à la lutte pour la qualification pour le CT. L'année ne pouvait pas mieux débuter avec cette victoire, je suis très heureuse. »
Membre du CT en 2012, Justine Dupont connaît la recette pour se hisser dans l’élite. Cela passera quoi qu’il en soit par des perfs sur les rares QS 6.000.
Tristan Guilbaud 9e chez les messieurs
Justine Dupont va continuer à peaufiner sa préparation en participant la semaine prochaine au KP Great Lakes Pro (autre QS 1.000), auquel prendront également par Pauline Ado, Tessa Thyssen et Marie Troja.
Chez les messieurs, la victoire est revenue au local Adrian Buchan, surfeur du CT et vainqueur du Quik Pro France 2008 et du Billabong Pro Tahiti 2013, vainqueur d’un autre Australien, Shane Holmes (16,15-13,60), en finale. Certains de nos surfeurs étaient présents à Avoca Beach. On retiendra la 9e place de Tristan Guilbaud alors que les autres ont été éliminés plus tôt : Paul-César Distinguin (17e), Andy Crière (25e), Jorgann Couzinet (33e), Gatien Delahaye (65e) et Diego Mignot (81e).

Les Groms au Cap Vert

Les 18 meilleurs Groms de la saison 2015 se disputent la finale européenne du Rip Curl GromSearch dans l’Ile de Sal, au Cap Vert, du 12 au 19 février.

 

Alors que la marque de surfwear Rip Curl relance la campagne « The Search », elle vient de signer Vincent Duvignac, il apparaît comme une évidence de partir sur une destination « hors du commun et excitante » pour les 18 meilleurs surfeurs européens de moins de 16 ans, dixit Jean-Seb Estienne, directeur marketing de Rip Curl Europe. Une belle stratégie qui devrait permettre d’offrir les meilleures conditions possibles aux surfeurs lors de cet événement. On se souvient encore de l’édition précédente disputée sur la célèbre gauche de Mundaka (Espagne). La droite de Punta Preta, longue et solide, devrait faire des heureux.
Quatre Français engagés
Quatre Français sont engagés sur cette finale : Mathis Crozon et Félix Moreau chez les garçons, Juliette Brice et Lisa Girardet chez les filles. Les vainqueurs obtiendront leur qualification pour la finale mondiale, laquelle se disputera en mai prochain sur le spot d’Ala Moana Bowl, à Honolulu (Hawaii). Et succéder au palmarès à Stephanie Gilmore, Gabriel Medina, salle Fitgibbons, Matt Wilkinson...


Les participants à la finale européenne

CROZON Mathis (Fra)
MOREAU Felix (Fra)
BRICE Juliette (Fra)
GIRARDET Lisa (Fra)
VITORIA Ruben (ESP)
IRIONDO Asier (ESP)
GUNDIN Isabel (ESP)
EROSTARBE Nadia (ESP)
MIGLIORINI Mattia (ITA)
BOUAOUDA Boubker (MAR)
GROEN Dylan (POR)
MOREIRA Joao (POR)
BONVALOT Teresa (POR)
PISPO Ines (POR)
LANGDON DARK (UK)
REEVES Leo (UK)
MATHIAS Lamh (UK)
TURNER Ellie (UK)

Jérémy Florès : « L’Eddie Aikau va être un vrai challenge ! »

Invité pour la 5e année consécutive, et seul Français dans la liste des 28 participants, Jérémy Florès va enfin pouvoir goûter au challenge unique de participer au Quiksilver In memory of Eddie Aikau, la plus prestigieuse compétition de grosses vagues. Laquelle se tiendra ce mercredi sur le célèbre spot de Waimea Bay, à Hawaii, où des vagues de 18 mètres sont attendues.

 

Jérémy, tu pars aujourd’hui pour Hawaii après avoir reçu un mail de confirmation de l’organisation de l’Eddie Aikau. Après cinq ans d’attente, on y est. Comment te sens-tu ?
Excité ! C’est une bonne excitation. Ça va être totalement différent des autres compétitions. Tous les invités sont déjà là-bas. Je suis le seul aussi loin. Je vais donc arriver la veille au soir. Ça va être rude ! Je vais passer direct de l’avion à des vagues de 25-30 pieds pieds, sans trop avoir dormi. Ça va être chaud. Ça va être un vrai challenge pour moi.

Pourquoi n’es-tu pas resté à Hawaii comme les hivers précédents ?
C’est la première année depuis 10 ans que je ne reste pas à Hawaii... Les fois précédentes, j’y étais pour me préparer à l’Eddie, justement. Cette fois, je voulais faire un vrai break. Contrairement aux autres invités, les surfeurs du CT ont beosin de cette période pour se reposer avant de retourner faire des compétitions à partir du mois de mars. J’ai donc passé les fêtes en famille en France. Et bim ! Ils lancent la compétition cette année (rires).

« Je vais m’adapter, je vais prendre des bombes ! »

Comment t’es-tu préparé pour affronter Waimea ?
Je n’ai pas trop surfé de grosses vagues ces derniers temps. Je ne suis pas forcément préparé au mieux. Je vais m’adapter. Et je vais prendre des bombes ! J’ai surtout hâte de voir ça et de faire enfin cette compétition. C’est un véritable honneur que d’être invité et ça fait 5 ans que j’attends ça. e vais onc y aller en mode « challenge ».

Tu as quelque fois surfé Waimea Bay. Racontes-nous un peu ce spot. Ce qu’il faut faire. Ne pas faire.
Contrairement à des spots comme Jaws où il y a beaucoup d’espace, beaucoup d’eau, Waimea est une sorte de slab géant. Une énorme masse d’eau qui arrive et casse quasiment toujours au même endroit. Elle aussi carré que haute. C’est hyper puissant.

« La peur, c’est avant, pas pendant »



Tu connais Waimea mais tu n’as pas encore surfé la taille qui t’attend cette semaine. As-tu de l’appréhension ?

Oui. Comme tout le monde. Mais la peur c’est avant. Une fois que tu mets le lycra pour aller à l’eau, tu oublies la peur. A Teahupoo, à Pipeline ou à Waimea, la peur est là. Mais tu fais avec quand tu passes en mode compétition.

Quelle planche vas-tu surfer ? Elles sont là-bas ou ici ?
J’ai des planches qui m’attendent là-bas. Je pense que je vais surfer avec une 9’4 et une 9’7, mes deux boards préférées pour le gros surf.

« C'est un autre sport ! »

Porteras-tu un gilet ?
Je ne sais pas encore. J’ai le nouveau gilet Quiksilver que j’ai testé à Hawaii en fin d’année dernière, et en France il y a quelques semaines. Si je peux le porter, alors oui, je le mettrai.

Tu fais des compétitions depuis 20 ans, mais l’Eddie est totalement différent : tu ne vas pas affronter d’autres surfeurs mais une vague géante. Qu’est-ce qui change dans l’approche de cet évènement ?
C’est sûr que ça change. C’est quelque chose que je n’ai jamais fait. C’est un autre sport. La quais totalité des invités se préparent toute l’année pour affronter Waimea Bay et participer à l’Eddie. Ma préparation n’est pas la même. Quand je pense planches et tactique, eux ont des entraînements spécifiques pour surfer ces vagues-là. Oui, c’est définitivement un autre sport. Mais je suis prêt pour le challenge.

 

Les 28 invités

Aaron Gold (Haw)
Albee Layer (Haw)
Bruce Irons (Haw)
Clyde Aikau (Haw)
Dave Wassel (Haw)
Garrett McNamara (Haw)
Grant Baker (AFS)
Greg Long (USA)
Ian Walsh (Haw)
Jamie Mitchell (Aus)
Jamie O'Brien (Haw)
Jérémy Florès (Fra)
John John Florence (Haw)
Kala Alexander (Haw)
Kelly Slater (USA)
Khol Christensen (Haw)
Makua Rothman (Haw)
Mark Healy (Haw)
Nathan Fletcher (USA)
Noah Johnson (Haw)
Peter Mel (USA)
Ramon Navarro (CHL)
Reef McIntosh (Haw)
Ross Clarke-Jones (Aus)
Shane Dorian (Haw)
Sunny Garcia (Haw)
Takayuki Wakita (Jap)
Tom Carroll (Aus)
Les remplaçants : Mason Ho (Haw), Danilo Couto (Bré), Mark Mathews (Aus), Koa Rothman (Haw), Ben Wilkinson (Aus), Jamie Sterling (Haw), Billy Kemper (Haw), Shawn Dollar (USA), Carlos Burle (Bré), Kealii Mamala (Haw), Gabriel Villaran (Per), Michael Ho (Haw), Kai Lenny (Haw), Kahea Hart (Haw) Nathan Florence (Haw), Damien Hobgood (USA), Kalani Chapman (Haw), Ryan Hipwood Aus), Danny Fuller (Haw), Nic Lamb (USA), Anthony Tashnick (USA), Rusty Long (USA), Derek Dunfee (USA).

Le palmarès

En 31 éditions, le Eddie Aikau n’a eu lieu que 8 fois.
2009-2010 : Greg Long (USA)
2004-2005 : Bruce Irons (Haw)
2001-2002 : Kelly Slater (USA)
2000-2001 : Ross Clarke-Jones (Aus)
1998-1999 : Noah Johnson (Haw)
1989-1990 : Keone Downing (Haw)
1986-1987 : Clyde Aikau (Haw)
1985-1986 : Denton Miyamura (Haw)

Le concept

L’Eddie Aikau se dispute dans le célèbre spot de Waimea Bay, à Hawaii. Il n'a lieu que si les vagues font au minimum 20 pieds hawaiiens (40 pieds de face, soit 12 m) et que les vagues sont de même taille lors des 8 heures de compétition. C’est pour cette raison que l’organisation se défend de ne pas avoir lancé l’Eddie lors des deux derniers épisodes de grosses houles à Hawaii en janvier dernier.
Cet évènement est organisé chaque année depuis 1985 en mémoire à Eddie Aikau. Surfeur et sauveteur, il était une des figures du big wave surfing à Hawaii et avait fait de Waimea son terrain de jeu. Il a disparu en mer en 1978 lors d’une traversée en brigue hawaïenne reliant l’archipel hawaïen à celui de la Polynésie française.

 

 

Comité directeur des 6 et 7 février 2016

Les membres du Comité Directeur de la Fédération Française de Surf été convoqués à la réunion du Comité Directeur qui s’est tenue les 6 et 7 février au siège de la FFS à Hossegor.



Parmi les principaux dossiers, citons notamment la décision de confier l’EuroSup 2016 à Lacanau, le choix de la ville de Biarritz pour l’organisation des championnats de France 2016, le positionnement de la FFS pour l’organisation des Mondiaux de surf en 2017, les modifications apportées au circuit des Coupes de France, la création d’un nouveau Label concernant les clubs.

Membres Présents
- Jean-Luc Arassus, Jean Marc St Geours, , Charles Bride , Sophie Pola, , Jean Didier Lafitte, Romain Bergheaud, Pascal Bernadet, Robert Boulanger , Michel Pellegrino
- Membres Absents ,représentés , Hassan El Houlali,, pouvoir à Jean-Luc Arassus; Pauline Ado, pouvoir à Sophie Pola.
- Membres absents excusés : Christa Véteau , Isabelle Froidefond, Jean-Yves Fontaine
- Direction Technique Nationale : Michel Plateau, DTN
- Invité : Remi Castaings, comptabilité

 

Relevé de conclusions

1 - Circuit coupes de France

- Le Comité Directeur prend acte des propositions de modifications du circuit des coupes de France , après consultation des Commissions sportives. Une réduction des formats, dans certaines disciplines, l’abandon des grandes finales, et un calendrier resserré de mars à aout en sont les principales. Un circuit européen en bodysurf devrait également voir le jour en 2016.
- Le Comité Directeur est également informé de la reprise des compétitions à La Réunion, et s’en réjouit.

2 - Pôle France et Championnats de France à Biarritz

- Le Comité Directeur prend connaissance des projets avec la ville de Biarritz : reconduction de la collaboration avec la Ville pour les Championnats de France en 2016, projet de convention pour l’utilisation de la Villa Banuelos comme résidence du Pôle France, avec partage pour 1/3 avec l’Association nationale Handi Surf.
- Concernant le Haut Niveau, une réflexion sur l’accompagnement scolaire des non sociétaires du Pole France, au moins au niveau de l’information, est engagée.
Le CD valide l’organisation des championnats de France de surf en collaboration avec Biarritz; et mandate le président pour négocier au mieux la convention d’occupation relative à l’accueil du Pôle France.

3 - EuroSup 2016

- Le Comité Directeur prend acte de la candidature unique de Lacanau pour l’organisation de l’EuroSup 2016, positionnés du 18 au 22 juin. L’European Surfing Federation doit valider le programme.

Le CD valide le dossier de Lacanau.

4- Championnats du monde 2017

- Le Comité Directeur prend acte des informations relatives aux Championnats du Monde des nations en Surf Open susceptibles d’être organisés en 2017. Le budget est estimé à 600 K€, les aides institutionnelles pouvant atteindre 50%.
- Il reste beaucoup à trouver, et le Comité Directeur souhaite pouvoir disposer d’une présentation plus fine sur les territoires et les sites. L’étude nécessite un engagement d’environ 5 K€.
Le CD valide la demande d’étude préliminaire, et souhaite le report de la décision au CD du mois de mars.

5 - Label Club

- Le Comité Directeur étudie avec attention le dossier du nouveau Label Club. Pascal Bernadet remercie l’ensemble des acteurs qui ont travaillé, rapidement et efficacement, à la définition des contenus et à la constitution du dossier. Celui ci est adopté dans sa forme : demande des clubs, attribution par la FFS avec une réelle évaluation qualitative avec trois grades : Or, Argent, Bronze.
Il permettra d’atteindre trois objectifs principaux:
- nourrir un nouvel élan autour du projet fédéral
- reconnaissance d’un travail de qualité et d’un véritable projet de club (éducatif , social et sportif)
- créer une véritable lisibilité et à brève échéance, un esprit olympique, le tout en complément des informations déjà présentes dans le dossier
Le CD valide le dossier.

6- Atterrissage budgétaire 2015

- Le Comité Directeur est informé, par le trésorier Jean-Yves Fontaine, et par Remi Castaings, comptable, de la possibilité de comptes 2015 proches de l’équilibre. Ceci sera confirmé par le cabinet comptable au CD de mars 2016.
Le Comité Directeur est sensible à cette information, tout en regrettant que les fonds propres ne puissent être abondés. Toutefois, ce résultat, dans le contexte actuel, témoigne d’une gestion rigoureuse et remarquablement contrôlée par nos outils et notre service comptable.
Pas de vote.

7- Budget prévisionnel 2016

- Le Comité Directeur étudie la proposition de budget prévisionnel 2016, qui sera proposé au CD de mars, avec des choix budgétaires qui se préciseront selon les informations des rencontres internationales, non encore définies à ce jour.

8- Attribution des lots du marché textile 2016

- Le Comité Directeur étudie de dossier relatif à l’appel d’offre Textile lancé par la FFS, et qui a recueilli 5 candidatures toutes conformes dans leur composition.
- Après présentation et études des offres tarifaires, des critères techniques relatifs aux lots, des éléments complémentaires qualitatifs, il est décidé d’attribuer la totalité du marché à la société qui propose la meilleure offre technique et qualitative, pour une offre tarifaire très satisfaisante.
- Le lot 6 sera travaillé avec le partenaire et soumis à la validation de l’assemblée générale, car il engage la participation des clubs.

9 - Réglementation sportive (Sup et organisation des compétitions)

- Le Comité Directeur prend acte du travail de la commission technique qui a engagé la réactualisation du règlement sportif SUP, conformément à la demande de la commission sportive SUP Race.
- Ce règlement est validé pour l’année 2016, le Comité Directeur souhaitant une évaluation en fin d’année de ces modifications (classement suspendu entre autres)
- Concernant le règlement surf, celui ci est l’objet d’une mise en conformité avec les cahiers des charges de coupes de France.

10 - Fixation de la date de l’assemblée générale élective

- Le Comité Directeur souhaite attendre la tenue de l’AG exceptionnelle de mars avant de prendre position sur une date, en entendant bien les demandes ministérielles qui souhaitent que les AG électives se tiennent avant fin 2016.

11 - Organisation des AG ordinaire et AG Extraordinaire de mars

- Le Comité directeur arrête la date du 19 mars, à Bordeaux (Hotel Novotel) pour la tenue des AGE et AGO

Le CD valide les conditions d’organisation des AGE et AGO de Mars 2016

12 - Projet fédéral 2017-2020

- Le comité directeur effectue un bilan détaillé des principaux objectifs du projets 2013-2017, destiné à élaborer les premières pistes pour la nouvelle olympiade, qui pourraient être portées par l’équipe nouvelle.
- Celui-ci devra tenir compte des nouveaux enjeux (: Tokyo 2020, vagues artificielles, enjeux sociétaux, développement des territoires et des bassins d’emploi, contextes économiques, modification des cursus de formation avec reconnaissance des diplômes fédéraux. Chaque élu responsable d’un département est sollicité pour préciser à la fois le bilan, au regard du document synopsis transmis, et proposer des pistes au Président, pour alimenter la réflexion collective

Angibaud en quarts à Hawaii

  • Publié dans SUP Surf
  • 06 février 2016

Vainqueur l'an dernier, Caroline Angibaud prend cette fois-ci la 5e place de la première manche du Stand Up World Tour, disputée sur le spot de Turtle Bay, à Hawaii, la nuit dernière.

 

La Française s'est arrêtée en quarts de finale, battue par l'Hawaïenne Izzy Gomez (15.93 à 13.10 pts), championne du monde en titre et futur vainqueur de la compétition. Plus tôt, la Vendéenne avait notamment sorti l'Australienne Hanna F Jones avec le meilleur total sur deux vagues de toute la compétition : 16.77 pts ! En finale, Gomez a disposé de l'Américaine Fiona Wylde (16.27 à 12.50).

Cliquez ici pour voir le tableau complet 

Le calendrier SUP World Tour dames 2016

4-10 février : Turtle bay Women’s Pro, Hawaii [Izzy Gomez, USA]
4-9 octobre : South California Pro, USA
23-30 novembre : Tenerife Pro, Canaries
3-11 décembre : Gran Canaria Pro, Canaries

Édouard DELPERO

 

le 26 février 1990
A Marseille (Bouches-du-Rhone)
Discipline : Surf, longboard, Stand up paddle
Catégorie : Open
Club : Bascs (Pyrénées-Atlantiques)


Palmarès
Champion du monde longboard ISA par équipes en 2013, 2019 et 2023
Champion du monde relais ISA 2019 et 2013
Vice-champion du monde longboard WSL en 2017
N. 5 mondial longboard WSL en 2018, 2016, 2015 et 2012
Médaille de bronze ISA 2019 et 2023
N. 5 mondial longboard ISA en 2013
Champion d'Europe longboard en 2015
Champion d'Europe longboard WSL en 2014, 2018, 2019, 2021
Champion de France de longboard en 2011, 2012, 2013, 2015, 2019, 2021
Vice-champion de France de surf Open en 2011, 2012 et 2013
Champion de France junior longboard en 2008
Champion d'Europe junior longboard en 2008

Classement national : N.1 en longboard
Nombre de sélections en équipe de France : 5

Bio express 

Edouard Delpero est né à Marseille où ils passé son enfance jusqu’à l’âge de 14 ans. Il suit les traces de son frère aîné Antoine en s’installant au pays basque et en intégrant le Pôle France alors à Bayonne.
L’idée est d’associer le sport aux études et, en ce sens, la carrière d’Edouard est une belle réussite. Bac en poche, trophées nationaux et continentaux dans l’armoire, il intègre l'ESC Grenoble (Grenoble Ecole de Management), une formation spécialisée pour les sportifs de haut niveau.
Incapable de choisir entre surf, longboard et stand up paddle, il décide de glisser sur les vagues au gré de son humeur et des conditions.
A ce titre, il est considéré comme un des meilleurs surfeurs français tout support confondus. Esthète du free surf, passionné de surf trips dans les coins les plus reculés de la planète, il se mue en un redoutable compétiteur.
Trois fois vice-champion de France en shortboard (2011, 2012 et 2013), il est quadruple champion de France de longboard (2011 à 2015) et, surtout, champion du monde de longboard par équipes avec son frère Antoine lors des Mondiaux 2013 au Pérou. Il retrouve l’équipe de France l’année dernière lors de l'Eurosurf de Casablanca (Maroc), et règle le titre continental en longboard de hang ten de maître.
Déjà 5e lors des Mondiaux professionnels de la WSL en 2012, il est de nouveau 5e, et meilleur Français, lors de l’édition 2015 disputée en Chine en fin d'année 2015 et 2016.
Vice-champion de France derrière son frère Antoine en octobre 2017, il remporte la seconde et dernière anche du tour mondial WSL disputée début décembre à Taïwan et devient vice-champion du monde professionnel 2017.
Vainqueur de deux des quatre étapes du tour européen WSL, il devient champion d'Europe en 2018. Il prend la deuxième place des championnats de France derrière son frère Antoine. Un an après sa médaille d'argent, il s'arrête cette fois en quarts de finale des Mondiaux WSL à Taïwan.
En mai 2019, il est sélectionné avec l'équipe de France pour les Mondiaux ISA à Biarritz. Le 31 mai, il remporte le titre mondial du relais avec son frère Antoine, Justine Dupont et Alice Lemoigne. Il remporte le 2 juin la médaille de bronze chez les messieurs et soulève le trophée de champion du monde des nations avec ses coéquipiers.Une seule compétition vient marquer la saison 2020 impactée par la pandémie de Covid-19 : à Espinho, il remet en jeu son titre européen WSL sur une seule étape. Qu'il remporte !
Il est sélectionné en équipe de France pour les championnats du monde ISA 2023 au Salvador. Impressionnant tout au long de la semaine de qualification, il termine finalement sur le podium des Mondiaux.



Éric DARGENT

Né le 26 septembre 1977
A Martigues (Bouche-du-Rhône)
Discipline : Para Surf ; catégorie AS-2 (amputation au-dessus du genou)
Catégorie : Para Surf 2, amputation au-dessus du genou
Club : Lou Martegue (Bouches-du-Rhône)

Palmarès
Vice-champion du monde Para Surf 2016, 2017 et 2020
N.5 mondial Para Surf 2015, 2018 et 2021
Champion d'Europe Para Surf 2019
Champion d'Europe des nations 2019
Champion de France Para Surf 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019

Classement national : pas de classement national en Para Surf
Nombre de sélections en équipe de France : 6

 

Bio express

Eric Dargent est né à la fin des années 70 à Martigues, au bord de la Méditerranée. Il surfe depuis l’âge de 9 ans et passe ses hivers à guetter le moindre swell dans la région. Amoureux des sports de glisse, il a toujours assouvi ses passions : surf, windsurf, bodyboard, VTT, skate, snow.
La Méditerranée devient trop petite et Eric, infirmier et trésorier d’une école de surf, s’offre des voyages pour découvrir de nouveaux horizons.
Début 2011, il débarque avec sa femme et ses trois enfants à La Réunion. Le projet est alors de s’installer dans l’Océan indien.
Sa vie bascule le 19 février de cette même année. Alors qu’il surfe à St Gilles les bains, il est attaqué par un requin qui lui sectionne la jambe gauche. Il s’en sort mais il est amputé à hauteur de la cuisse. Une nouvelle vie commence.
Sa force de caractère lui a permis de survivre. Elle va bientôt le faire remonter sur une planche. Moins d’un an après l’attaque, il surfe de nouveau grâce à une prothèse qu’il a bricolé. Il s’associe ensuite avec la société Proteor qui lui confie une prothèse spécialement conçue pour les sports extrêmes.
Eric Dargent créé aussi l’Association Surfeurs Dargent, dont les objectifs sont de promouvoir, créer et adapter des prothèses performantes pour les sports de glisse et de partager cette évolution lors de rencontres, d'évènements, d'initiations.
S’il n’a jamais été versé dans la compétition, Eric Dargent sent que la création du premier Collectif France Handi Surf, en mai 2015, va lui permettre de rencontrer des surfeurs en situation de handicap du monde entier.
Il est retenu en équipe de France et part disputer les tout premiers championnats du monde « adaptive » en septembre 2015, en Californie. Il en revient avec une 5e place et des souvenirs plein la tête.
Un mois plus tard, il remporte les premiers championnats de France Handi Surf à Biarritz. En 2016, il conserve sa couronne nationale avant de s'envoler pour la Californie. Membre de l’équipe de France Handi Surf, Eric Dargent participe à la deuxième édition des Mondiaux Handi Surf de l’International Surfing Association, en fin d’année à San Diego. Auteur d'un parcours exceptionnel, le Français prend la deuxième place de la catégorie AS 2 (amputé fémoral).
En octobre 2017, il remporte un troisième titre de champion de France de Para Surf 2 à Hossegor. Début décembre, il est vice-champion du monde pour la seconde année consécutive à San Diego, Californie. 
Il est champion de France pour la quatrième année consécutive en octobre à Hossegor. Prétendant au titre mondial après deux médailles d'argent consécutive, Eric s'arrête néanmoins en demi-finales lors des Mondiaux ParaSurf 2018, début décembre à San Diego.
Il remporte logiquement les premiers championnats d'Europe en mai 2019 au Portugal avant de s'imposer pour la 5e fois sur les France en octobre à Hossegor.
En mars 2020, il est de nouveau capitaine de l'équipe de France aux championnats du monde ISA de La Jolla. Pour sa 5e participation, le Martégal décroche une médaille d'argent, la 3e de sa carrière. 
Il fait l'impasse sur les championnats de France 2021 pour le tournage d'un film à Tahiti et prend ensuite la 5e place des Mondiaux ISA à Pismo, Californie.

 

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Un deuxième spot sécurisé à La Réunion

Après Boucan Canot en fin d’année dernière, c’est au tour de la plage des Roches Noires, à St Gilles les Bains, de réceptionner officiellement son filet de protection. Ce vendredi 5 février, la baignade et les activités nautiques, dont le surf, sont désormais sécurisées et autorisées. Le dispositif de protection contre les requins couvre une surface de 57 000 m2.

 

« C’est un soulagement ! Une avancée de plus dans la volonté collective de sécuriser la baignade et les activités nautiques », indique Patrick Florès, adjoint au maire de Saint-Paul en charge de la station balnéaire et de la crise requin, et par ailleurs entraîneur des équipes de France de surf. « C’est deux ans de combat qui se terminent. Les plages de Saint-Paul revivent enfin. » Un combat que ce passionné de surf et enfant de St Gilles les Bains a mené avec énergie et détermination.
L’équivalent de 120 piscines olympiques
531 mètres linéaires de filets ont été installés au niveau du spot des Roches Noires. Les travaux et l’entretien sont financés par les fonds européens, la Ville de Saint-Paul, l’État et la Région. Ce dispositif est unique au monde puisque la technologie utilisée n’affecte en aucun cas la faune sous-marine.



« Ce sont bien des filets de protection et non des filets de pêche,
souligne Florès. Nous utilisons un système non maillant dans lequel les poissons et les mammifères marins ne peuvent être pris au piège. »
Au total, 141 000 m2 de surface (84 000 m2 à Boucan Canot et 57 000 m2 aux Roches Noires), soit l’équivalent de 120 piscines olympiques, sont désormais protégés. Plus de deux millions € sont investis sur quatre ans pour la maintenance des dispositifs de protection.
Johanne Defay : « On se sent vraiment en sécurité »
A cet effet, 11 maîtres nageurs sauveteurs et trois ouvriers scaphandriers seront chargés de l’inspection quotidienne avant l’ouverture des zones de baignade et de surf. « Ce ne peut être que positif pour les Réunionnais et pour le développement économique de la zone balnéaire, assure Patrcick Florès. C’est un investissement important mais qui vaut la peine lorsqu’on observe les bénéfices à venir. »



« Désormais, on se sent vraiment en sécurité »
, commente la N.1 Française Johanne Defay, qui séjourne actuellement sur son île avant de reprendre le chemin du tour mondial. « C’est important de pouvoir surfer en sécurité, à n’importe quelle heure, à n’importe quel moment de la journée ».
Un troisième filet prochainement
La Ville de Saint-Paul compte étendre les travaux de sécurisation avec une dernière tranche au niveau du spot de Trois Bassins, qu’elle partage en partie avec la commune éponyme. « Nous travaillons avec le maire de Trois Bassins sur cette sécurisation, c’est en bonne voie », confie Patrick Florès. D’autres communes travaillent pour leur part sur d’autres dispositifs de sécurisation. A St Leu, le spot le plus connu de l’île, des créneaux avec sécurisation sur l’eau et sous l’eau sont désormais proposés aux surfeurs du club local.
Le retour des compétitions
Du côté de la Ligue réunionnaise de surf, l’heure est désormais à la reprise des activités. La LRS indique qu’elle souhaite redonner vie aux clubs et aux écoles de surf, et travaille activement sur le calendrier des compétitions de surf. Des compétitions qui, pour le moment, ne pourront évidemment se dérouler que sur l’un des deux spots sécurisés.
Des compétitions à l’arrêt depuis plus de deux ans et demi et l’arrêté préfectoral interdisant la baignade et le surf à La Réunion en dehors des zones protégées (lagon). « Nous espérons qu’on pourra rendre à La Réunion son statut de fournisseur des équipes de France », conclu Patrick Florès.
Soutien de la Ligue Réunionnaise de Surf et de la communauté surf de La Réunion depuis le début de la crise, la Fédération Française de Surf se félicite de cette nouvelle avancé et de la possibilité de voir les jeunes surfeurs de l’île pratiquer de nouveau leur activité en toute sécurité.

 

Cinq ans, 18 attaques, 7 morts

Depuis le 19 février 201 et l’attaque d’Eric Dargent aux Roches Noires, La Réunion a connu une série d’attaques de requins sans précédent dans le monde. On a enregistré 18 attaques sur les quelque 30 km de côtes de la zone ouest du département français de l’Océan indien. 7 attaques ont été mortelles : 5 surfeurs et 2 baigneurs perdant la vie dans les eaux réunionnaises. Certains des rescapés sont depuis lourdement ou partiellement handicapés.
La dernière attaque mortelle remonte au 12 avril 2015. Elio Canestri (13 ans), membre du Pôle Espoir de La Réunion, étant mortellement mordu par un requin alors qu'il surfait sur le spot des Aigrettes. Sa disparition a causé une immense émotion à La Réunion et dans le Sud-Ouest d’où il était originaire.

Le surf et la baignade toujours interdit ailleurs

Un arrêté préfectoral d'interdiction du surf est en vigueur à La Réunion depuis juillet 2013 et la recrudescence des attaques de squales. La baignade et les activités nautiques sont interdites sur cette île tropicale de l'océan indien hors lagon (donc impossible pour le surf), hors zones surveillées ouvertes temporairement et hors zones sécurisées par des filets (plage de Boucan canot et des Roches Noires).
Les requins bouledogues, une espèce non protégée, dont la commercialisation a été interdite à La Réunion depuis 1999, sont mis en cause dans la majorité des attaques.

PACA : Coupe régionale Longboard à Marseille

La première étape de la Coupe Régionale PACA espoir et ondine 2016 s'est déroulée le week-end dernier au Prado, à Marseille, organisée par le surf club de la Sardine.

Seuls les longboard espoir, ondines espoirs et ondines open ont pu concourir du fait des conditions (de 50 cm à 8h, jusqu'à 1m en début d'après midi, avec un vent on shore forcissant).

Il faut dire que le spot du Prado se prête parfaitement à l'exercice préconisé désormais dans cette discipline par la fédération Française et la WSL : figures traditionnelles, nose et travail sur le rail, « foot work », style et grâce dans la partie la plus critique de la vague...
C'est ce qu’a tenté de faire la trentaine de participants de 10 à 18 ans (représentants pas moins de six clubs qui ont fait le déplacement: LEC, Sausset, Lou Martegue, GAS, Planet Surf, Aloha), après que le directeur de compétition, Vincent Chasselon, et les juges fédéraux, Jean-Claude Sprecher et Patrick Grandjean, ont pris le temps de présenter les nouveaux critères avec pédagogie.

De plus en plus de jeunes

Peu de surprise sur cette étape, si ce n'est la bataille pour la 2e place entre l'habitué des podiums shortboard et longboard, Jules Agazar, et Greg Delpero-Barthe, désormais à l'aise en série. Les deux étant suivis de près par Etienne Elegido. C'est sûr, le niveau monte !
Il faut noter la vaillance des plus jeunes malgré les conditions hivernales; participation d'un benjamin Lucas Tardivat, et un minime qui se hisse à la 10e place : Jack Agazar. Pas mal de nouveaux venus dans la compétition également, licenciés au LEC et à la Sardine. Ce qui confirme que cette discipline plaît de plus en plus aux jeunes.

Au final, ce sont Camille Couzinet en ondines espoirs, Julie Nolot en ondines open (les représentantes Paca aux France) et Nathan Sadoun (double podium aux France) qui montent sur la plus haute marche, non sans avoir bataillé avec des adversaires qui n'ont rien lâché. L’expérience de la compétition a payé avec des conditions très hachées où il fallait trouver la vague qui mènerait jusqu'au bord et permettrait de poser les figures requises.

Organisation au top !

Côté plage, la Sardine avait tout organisé pour faire oublier la température : café le matin, barbecue à midi, bonbons et lots Massilia Surf shop (partenaire de toujours) pour les podiums. Les séries se sont enchainées sans fausse note sous le micro de MC Bruno Le Gall. On remercie le club et la mairie qui a mis à disposition le local, pour l'accueil toujours aussi chaleureux.

Place maintenant aux étapes shortboard, qui auront lieu après les vacances de février si les conditions s'y prêtent.


RÉSULTATS

Longboard espoirs
1 SADOUN Nathan
2 AGAZAR Jules
3 DELPERO-BARTHE Gregoire
4 ELEGIDO Etienne
5 BOYER Hugo
5 LANGLOIS Jules
7 PARREL Robin
7 LE GALL Louis
7 NOLOT Guillaume
10 Agazar Jack
10 JUVILLE Matheo
10 DEMESSINE Louis
13 CLAVEL Arthur
13 Hanras Arthur
13 GALERA Mattéo
13 GARDAIR Leo
13 MAGISSON Gaétan
19 BENAVENTE Luca
19 Tardivat Lucas
19 ALEXANDRE Mathieu

Longboard ondines open
1 NOLOT Julie
2 SCHOPPNER Jessica
3 GUIDONI Manon
4 LE GALL Margaux

Longboard ondines espoir
1 COUZINET Camille
2 ESCARGUEL Tya
3 CHAVE Coline
4 CLAVEL Marine

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