La FFS au Japon pour les JO-2020
Jean-Luc Arassus (à droite), le président de la FFS, en compagnie de Fernando Aguerre (à gauche), le président de l'ISA, la semaine dernière à Hyuga lors des Mondiaux junior de surf.
© FFS
Jean-Luc Arassus, le président de la Fédération, accompagné de Michel Plateau, le Directeur Technique National, et de Stéphane Corbinien, le directeur des équipes de France, a rencontré les dirigeants de l’international Surfing Association durant les Mondiaux juniors et se rend en ce début de semaine à Chiba pour préparer le déplacement olympique de 2020.
A Hyuga en fin de semaine dernière pour assister aux Mondiaux juniors, qui se sont achevés dimanche avec une 5e place au classement des nations pour l’équipe de France, le président Jean-Luc Arassus a par ailleurs travaillé sur quatre dossiers avec l’International Surfing Association (ISA).
1- Construire une stratégie pour la consolidation du surf aux Jeux Olympiques de Paris-2024. « On veut commencer à travailler avec le COJO (Comité d’Organisation des Jeux Olympiques) de Paris », explique le président de la FFSurf. 2 - Préparer les prochaines élections du bureau directeur de l’ISA en février 2018. « Avec la possibilité d’intégrer le bureau l’an prochain » commente-t-il. 3 - Évoquer la mise en place des critères de sélection pour les JO de Tokyo-2020. « Afin de peaufiner notre stratégie pour la préparation sportive », ajoute le président. 4 - La validation par l’ISA des Gymnasiades 2018 (moins de 17 ans) au Maroc en mai 2018. L’ISA soutient cette proposition, une réunion de travail avec la Fédération Royale Marocaine a eu lieu à Hyuga où le président Arassus a rencontré certains pays européens « pour les sensibiliser à cette épreuve, organisée par la fédération internationale du sport scolaire, laquelle comportera pour la première fois du surf. »
Déplacement à Chiba
Alors que l’équipe junior rentre ce lundi au pays, le président de la FFS, accompagné du DTN et du directeur des équipes de France, est à Chiba, site des épreuves de surf des JO-2020.
La mission est de procéder à un repérage des lieux, comme le font (feront) les autres disciplines évoluant dans un environnement nature. La problématique étant ici l’éloignement de Tokyo, Chiba se situant à centaine de km au sud de la capitale nippone. La délégation a trois jours pour travailler sur la logistique : temps de transport, possibilité d’accès, hôtel, véhicules… Et, évidemment, observer le spot de la future compétition olympique. « Nous sommes reçus par la Nippon Surfing Association, qui met à notre disposition un de ses collaborateurs pour nous accompagner sur ce séjour », commente le président Arassus. « Une réunion de travail est prévue avec le président de la NSA pour échanger sur les différentes préparations quant à la compétition olympique. Une autre réunion va se faire avec le Cojo japonais, mardi matin à Tokyo. Et mercredi, nous ferons une visite de Chiba avec la NSA. »
A Hyuga en fin de semaine dernière pour assister aux Mondiaux juniors, qui se sont achevés dimanche avec une 5e place au classement des nations pour l’équipe de France, le président Jean-Luc Arassus a par ailleurs travaillé sur quatre dossiers avec l’International Surfing Association (ISA).
1- Construire une stratégie pour la consolidation du surf aux Jeux Olympiques de Paris-2024. « On veut commencer à travailler avec le COJO (Comité d’Organisation des Jeux Olympiques) de Paris », explique le président de la FFSurf. 2 - Préparer les prochaines élections du bureau directeur de l’ISA en février 2018. « Avec la possibilité d’intégrer le bureau l’an prochain » commente-t-il. 3 - Évoquer la mise en place des critères de sélection pour les JO de Tokyo-2020. « Afin de peaufiner notre stratégie pour la préparation sportive », ajoute le président. 4 - La validation par l’ISA des Gymnasiades 2018 (moins de 17 ans) au Maroc en mai 2018. L’ISA soutient cette proposition, une réunion de travail avec la Fédération Royale Marocaine a eu lieu à Hyuga où le président Arassus a rencontré certains pays européens « pour les sensibiliser à cette épreuve, organisée par la fédération internationale du sport scolaire, laquelle comportera pour la première fois du surf. »
Déplacement à Chiba
Alors que l’équipe junior rentre ce lundi au pays, le président de la FFS, accompagné du DTN et du directeur des équipes de France, est à Chiba, site des épreuves de surf des JO-2020.
La mission est de procéder à un repérage des lieux, comme le font (feront) les autres disciplines évoluant dans un environnement nature. La problématique étant ici l’éloignement de Tokyo, Chiba se situant à centaine de km au sud de la capitale nippone. La délégation a trois jours pour travailler sur la logistique : temps de transport, possibilité d’accès, hôtel, véhicules… Et, évidemment, observer le spot de la future compétition olympique. « Nous sommes reçus par la Nippon Surfing Association, qui met à notre disposition un de ses collaborateurs pour nous accompagner sur ce séjour », commente le président Arassus. « Une réunion de travail est prévue avec le président de la NSA pour échanger sur les différentes préparations quant à la compétition olympique. Une autre réunion va se faire avec le Cojo japonais, mardi matin à Tokyo. Et mercredi, nous ferons une visite de Chiba avec la NSA. »
