La Rétro 2018 (1/4)
Revivez les moments importants du surf français durant l'année 2018.
Première partie aujourd'hui : janvier, février et mars
1er janvier : Création du Label Ecole Française de SUP - Dans la continuité des autres labels fédéraux, la Fédération Française de Surf met en place au 1er janvier un label spécifique dédié au Stand Up Paddle. Ce Label est la reconnaissance de structures de qualité permettant l’accueil du grand public et l’organisation de sa pratique dans une totale sécurité.
20 janvier : Stage d'hiver au Panama - Pour la 10e année consécutive, la Fédération organise son stage d’hiver au soleil pendant une quinzaine de jours. Pour la seconde année de suite, la DTN a choisi le Panama comme destination pour une vingtaine de jeunes surfeurs de 13 à 17 ans, représentant le collectif « relève ». Ce regroupement permet de préparer les échéances internationales 2018. Les 8 techniciens de la DTN en profitent pour travailler ensemble sur les grandes orientations de la saison à venir.
30 janvier : disparition de Pierre Agnes - La grande famille du surf perd l’une de ses figures emblématiques qui a marqué le monde sportif et économique local, national et international. Pierre Agnès (54 ans), président du groupe Boardriders (Quiksilver, Roxy et DC Shoes), disparait au large de Hossegor. Il avait pris la mer seul sur son bateau de pêche, retrouvé vide et endommagé sur la plage du Boiteux.
12 février : La DTN sur les QS australiens - Pour la seconde année consécutive, la DTN dépêche deux techniciens pour superviser durant 3 semaines la quinzaine de surfeurs français engagés sur les QS 6.000 de Newcastle et Manly. L'idée est de continuer à créer une émulation autour du projet olympique, qui doit mener les meilleurs Français à Tokyo en juillet 2020.
21 février : Questionnaire pour mieux connaitre les licenciés - Désireuse de mieux connaitre les pratiquant(e)s de surf et ses licencié(e)s, la Fédération adresse un questionnaire à toutes les surfeuses et tous les surfeurs, à tous les parents des petites surfeuses et des petits surfeurs, qu'ils soient débutant(e)s, confirmé(e)s ou adeptes des compétitions. Les retours permettront de proposer des services plus adaptés et une licence répondant davantage aux aspirations et aux modes de pratique.
8 mars : Lacanau officiellement candidate pour les JO-2024 - La ville de Lacanau, en partenariat avec la Métropole de Bordeaux, se porte officiellement candidate pour accueillir les (éventuelles) épreuves de surf aux Jeux Olympiques 2024. Le Maire de Lacanau, Laurent Peyrondet, a fait la présentation de la candidature officielle durant le conseil communautaire de Médoc Atlantique. Lacanau se positionne avec l'expérience d'une compétition internationale depuis 1979, le soutien de la ville de Bordeaux et le projet d'une piscine à vagues.
16 mars : Modalités de sélections pour les JO-2020 - Le Comité International Olympique (CIO) officialise le système de qualification de l'épreuve de surf pour les Jeux de Tokyo-2020. L'International Surfing Association (ISA) et la World Surf League (WSL) se sont accordés pour que le CIO et l'ISA puissent travailler pour assurer l'universalité et la participation des meilleurs surfeurs du monde.
Les compétitions de qualifications seront donc dans l'ordre hiérarchique : 1. le Championship Tour (CT) 2019 de la World Surf League. 2. les World Surfing Games ISA 2020. 3. les World Surfing Games ISA 2019 et les Jeux Panaméricains 2019. 4. le circuit Qualifying Series (QS) 2019 de la World Surf League.
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