Stéphane Corbinien : « L'équipe qui fait peur est le Japon »
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Le directeur des équipes de France s'est prêté à l'exercice des questions-réponses à l'avant-veille du début des Mondiaux ISA du Japon (15-22 septembre).
1 - L'équipe de France de surf peut-elle conserver son titre mondial au Japon ?
Si on est ici, c'est pour être compétitif et aller le plus loin possible. On va prendre les journées et les séries les unes après les autres, et voir comment on avance dans la compétition.
2 - Quels sont les principaux adversaires des Français ?
On voit qu'il y a beaucoup d'équipes solides. L'Australie est en début de préparation olympique avec trois filles reconnues, dont Sally Fitzgibbons, actuelle 7e mondiale. L'Afrique du Sud est costaude aussi. Le Brésil a toujours des individualités qui peuvent faire mal. Les Européens sont en force avec de belles équipes du Portugal et de l'Espagne. Les nations américaines auront le couteau entre les dents par rapport à leur début de processus de qualification olympique avec les Jeux Panaméricains 2019. A la maison, l'équipe qui fait très peur est le Japon. Avec une des équipes les plus solides, sinon la plus solide de la compétition. Elle a notamment Kainoa Igarashi qui est un des grands favoris chez les messieurs.
3 - Pourquoi les surfeurs français du CT n'ont-ils pas été retenus comme en 2017 à Biarritz ?
On a bien sûr échangé avec eux. Ils savent qu'ils seront présents en 2019 et 2020. L'année 2018 est très stratégique pour eux car pour pouvoir prétendre à la qualification directe pour les Jeux il faudra être dans le CT en 2019. D'un commun accord, ils ont été laissés au repos pour cette fin de saison.
1 - L'équipe de France de surf peut-elle conserver son titre mondial au Japon ?
Si on est ici, c'est pour être compétitif et aller le plus loin possible. On va prendre les journées et les séries les unes après les autres, et voir comment on avance dans la compétition.
2 - Quels sont les principaux adversaires des Français ?
On voit qu'il y a beaucoup d'équipes solides. L'Australie est en début de préparation olympique avec trois filles reconnues, dont Sally Fitzgibbons, actuelle 7e mondiale. L'Afrique du Sud est costaude aussi. Le Brésil a toujours des individualités qui peuvent faire mal. Les Européens sont en force avec de belles équipes du Portugal et de l'Espagne. Les nations américaines auront le couteau entre les dents par rapport à leur début de processus de qualification olympique avec les Jeux Panaméricains 2019. A la maison, l'équipe qui fait très peur est le Japon. Avec une des équipes les plus solides, sinon la plus solide de la compétition. Elle a notamment Kainoa Igarashi qui est un des grands favoris chez les messieurs.
3 - Pourquoi les surfeurs français du CT n'ont-ils pas été retenus comme en 2017 à Biarritz ?
On a bien sûr échangé avec eux. Ils savent qu'ils seront présents en 2019 et 2020. L'année 2018 est très stratégique pour eux car pour pouvoir prétendre à la qualification directe pour les Jeux il faudra être dans le CT en 2019. D'un commun accord, ils ont été laissés au repos pour cette fin de saison.
