Cannelle Bulard : « J'ai hâte de commencer la compétition »
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De retour en équipe de France avec une longue parenthèse de 7 ans, Cannelle Bulard répond à nos questions à la veille des Mondiaux ISA du Japon (15-22 septembre).
L'équipe de France t'a-t-elle manquée depuis sept ans ?
Ça a manqué. Et j'ai surtout beaucoup plus de pression que les années précédentes. J'ai envie de faire encore mieux que d'habitude. Pas pour moi. Mais pour les autres. J'ai hâte de faire ma première série. J'ai une boule au ventre. J'ai toujours aimé ces compétitions en équipes. J'ai hésité à dire oui quand on m'a proposé la sélection pour le Japon. Je termine ma carrière en 2011 sur deux titres mondiaux. J'ai peur de me faire sortir d'entrée... C'est important d'arriver à fond. J'espère que je le serai. J'ai hâte.
Que reste-t-il de tes deux titres mondiaux de 2011 ?
Tu gagnes, tu ne sais pas trop ce qu'il t'arrive. Les deux fois, c'est quand je suis rentrée chez moi que je m'en suis aperçu. C'st un titre mondial. Mais ça n'a rien changé. Ni à ma vie, ni à ma carrière. Puisque j'ai décidé d'arrêter. Je me suis blessé, j'ai perdu des séries. J'ai préféré m'arrêter. Rester sur une belle note. Mais ça ne m'a jamais totalement démotivée puisque je suis de retour.
Tu as fait des Jeux Olympiques un objectif avoué. Est-ce déjà un très grand pas que d'être sélectionnée pour les World Surfing Games 2018 ?
Je ne m'attendais pas à cette sélection après seulement six mois de reprise. C'est une belle opportunité d'être ici. J'espère que les résultats suivront. Que mon niveau augmentera. Tout est faisable. Les Jeux ? J'y crois. La première année que le surf est aux Jeux, ça serait dingue d'y être ! Je suis au Japon pour faire un résultat. je ne suis pas venue ici pour trier des lentilles (rires). C'est important pour moi. Je vais tout donner.
L'équipe de France t'a-t-elle manquée depuis sept ans ?
Ça a manqué. Et j'ai surtout beaucoup plus de pression que les années précédentes. J'ai envie de faire encore mieux que d'habitude. Pas pour moi. Mais pour les autres. J'ai hâte de faire ma première série. J'ai une boule au ventre. J'ai toujours aimé ces compétitions en équipes. J'ai hésité à dire oui quand on m'a proposé la sélection pour le Japon. Je termine ma carrière en 2011 sur deux titres mondiaux. J'ai peur de me faire sortir d'entrée... C'est important d'arriver à fond. J'espère que je le serai. J'ai hâte.
Que reste-t-il de tes deux titres mondiaux de 2011 ?
Tu gagnes, tu ne sais pas trop ce qu'il t'arrive. Les deux fois, c'est quand je suis rentrée chez moi que je m'en suis aperçu. C'st un titre mondial. Mais ça n'a rien changé. Ni à ma vie, ni à ma carrière. Puisque j'ai décidé d'arrêter. Je me suis blessé, j'ai perdu des séries. J'ai préféré m'arrêter. Rester sur une belle note. Mais ça ne m'a jamais totalement démotivée puisque je suis de retour.
Tu as fait des Jeux Olympiques un objectif avoué. Est-ce déjà un très grand pas que d'être sélectionnée pour les World Surfing Games 2018 ?
Je ne m'attendais pas à cette sélection après seulement six mois de reprise. C'est une belle opportunité d'être ici. J'espère que les résultats suivront. Que mon niveau augmentera. Tout est faisable. Les Jeux ? J'y crois. La première année que le surf est aux Jeux, ça serait dingue d'y être ! Je suis au Japon pour faire un résultat. je ne suis pas venue ici pour trier des lentilles (rires). C'est important pour moi. Je vais tout donner.
