Justine Dupont : « Le compte à rebours est lancé »
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Chasseuse de grosses vagues mais aussi habituée des ISA, Justine Dupont répond à nos questions à la veille des Mondiaux ISA du Japon (15-22 septembre).
Qu'est-ce que cela représente d'être de nouveau titulaire pour les World Surfing Games après avoir vécu l'épreuve individuelle depuis la plage l'an dernier ?
Je suis très contente. J'avais fait une finale il y a deux ans au Costa Rica mais j'avais tellement envie de gagner que j'étais passée à côté. L'an passé, j'étais aussi un peu frustrée de ne pas en être même si j'ai fais le relais qu'on a gagné. Donc, un peu sur ma faim. Il y a eu un manque et ça fait envie. Ce manque devient un désir. D'autant qu'on est au Japon; le pays des JO dans deux ans. Il va y avoir deux places pour les Françaises, j'ai envie d'en avoir une. Ça commence dès maintenant. Le compte à rebours est lancé.
Après du surf de gros cet hiver et un peu de longboard, tu t'es remise totalement au shortboard depuis le début de l'été. Ton surf et tes récents résultats te donnent-ils une pleine confiance pour ces Mondiaux ?
Je pense que j'ai grandi, je suis plus mature. Dans la gestion des compétitions, la gestion des émotions. Quand tu surfais des grosses vagues, tu dois gérer tes émotions. Tout ça m'aide. Etre plus claire dans mes objectifs aussi. J'ai un double projet : le surf de gros et les JO. Je mets le longboard et le Stand Up Paddle de côté pour y parvenir. Je vais repartir pour une longue saison de grosses vagues et après je reviendrai sur le shortboard. J'ai atteint un premier objectif en étant ici.
Justement, le Japon accueillera dans moins de deux ans les Jeux Olympiques. Ce rendez-vous unique est-il l'objectif de toute une carrière ?
Pour ma part, peut être pas de toute une carrière. J'ai beaucoup d'objectifs et elle est bien garnie. J'ai un long hiver avec plein de projets sur les grosses vague et après je passerai sur une autre priorité : les Jeux Olympiques. Qui sont un gros objectif de carrière et qui me font continuer sur le shortboard.
Qu'est-ce que cela représente d'être de nouveau titulaire pour les World Surfing Games après avoir vécu l'épreuve individuelle depuis la plage l'an dernier ?
Je suis très contente. J'avais fait une finale il y a deux ans au Costa Rica mais j'avais tellement envie de gagner que j'étais passée à côté. L'an passé, j'étais aussi un peu frustrée de ne pas en être même si j'ai fais le relais qu'on a gagné. Donc, un peu sur ma faim. Il y a eu un manque et ça fait envie. Ce manque devient un désir. D'autant qu'on est au Japon; le pays des JO dans deux ans. Il va y avoir deux places pour les Françaises, j'ai envie d'en avoir une. Ça commence dès maintenant. Le compte à rebours est lancé.
Après du surf de gros cet hiver et un peu de longboard, tu t'es remise totalement au shortboard depuis le début de l'été. Ton surf et tes récents résultats te donnent-ils une pleine confiance pour ces Mondiaux ?
Je pense que j'ai grandi, je suis plus mature. Dans la gestion des compétitions, la gestion des émotions. Quand tu surfais des grosses vagues, tu dois gérer tes émotions. Tout ça m'aide. Etre plus claire dans mes objectifs aussi. J'ai un double projet : le surf de gros et les JO. Je mets le longboard et le Stand Up Paddle de côté pour y parvenir. Je vais repartir pour une longue saison de grosses vagues et après je reviendrai sur le shortboard. J'ai atteint un premier objectif en étant ici.
Justement, le Japon accueillera dans moins de deux ans les Jeux Olympiques. Ce rendez-vous unique est-il l'objectif de toute une carrière ?
Pour ma part, peut être pas de toute une carrière. J'ai beaucoup d'objectifs et elle est bien garnie. J'ai un long hiver avec plein de projets sur les grosses vague et après je passerai sur une autre priorité : les Jeux Olympiques. Qui sont un gros objectif de carrière et qui me font continuer sur le shortboard.
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